de l'Exodar à la lumière rayonnante

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Je me permet de remettre le début du post de candidature à cet endroit qui me parait plus approprier. De plus, je le complèterai ici.
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part I: Au commencement, un mage !

Jeune Enfant des héritiers de Naaru, Maeihdrei suit son éducation au sein de l'ile de brume Azur et brume sang. Pris très tôt sous la tutelle Edirah et de Lucc l'alchimiste.

Edirah voyant les talents de cet héritier pris des risques insensés afin d'initié ce jeune fougeux à la folie des arcanes magiques.
Il vit maintenant entre la culture de la cueillette calmant sa fougue, l'alchimie développant sa patience et la Magie arcane déployant sa puissance.

Son parcours fut semer d'embuches aussi héroïques qu'alimentaire.
Puis arriva le premier combat contre un Orc de chanteguerre, cela transfigura sa vision, sa vie, jusqu'au plus profond de son âme. L'ennemi était là!

Les petites infection de Kalimdor n'était qu'une égratignure dans le monde d'Azeroth, le vrai mal qui infectait le monde ne porter qu'un seul nom la HORDE.

La horde, ce monde de déstructure, de luxure et de ténèbre malsain. Son combat était trouvé.

Même les craintes et les arguments de Edirah, pour le dérouter de cette mission et rien jusqu'ici ne déligua MaeihDrei de son illumination.

(Suite partII)

Part II: en évolution ...

La fin de son initiation en Orneval, marquer son impatience, son imprudence et sa pédance.
Edirah admirait ses prouesses et ses peformances, mais le trouver trop arogant, mais surtout elle ne comprenait pas son combat.
Dans sa grande sagesse Edirah confia son élève à Horace Alder, fier et sage Mage de la caste de Theramore.

MaeihDrei dans son insoucience, alla vers ce nouveau mentor:
- un humain ! Tout de blanc vêtu, orné de marques hautement dorée! Furent les premières remarques de Maeihdrei.

Du haut, de son arrogance et Draenei de surcroit, la race humaine lui sembler trop envieuse et pas assez rude pour être digne de son intérêt!
Mais bon, il verrait bien mais il ne laisserait que peut de chance à ce vieillard!

L'arrogance de la jeunnesse pensait Horace, il aimait la fougue de son jeune disciple, il savait déjà que son éducation serait
difficile et certainement longue. Il commença, par l'envoyé dans les bourbiers de Désolace, ou il du faire son premier choix de section.
Obligé un Draenei a choisir une des factions, humano-animal fut une épreuve d'humilité intéressante pour Maeihdrei,
se faire commander par des animaux!! Il passa rapidement ces épreuves, Horace a son retour vit que le jeune Mage avait de vraies convictions
contre la Horde, mais aussi des aptitudes d'adaptation très intéressantes.

Il l'envoya dans le bourbier du marécage, et lui intima l'ordre de faire de la pêche pour qu'il apprenne la patience
et la cuisine pour apprenne la négociation et la précision. Le jeune mage s'exécuta sans conviction,
mais pris le parti de faire confiance à son guide, qu'il appréciait de plus en plus, pour son humilité et pour sa rudesse de propos
et surtout pour son exigence de résultat. Cela remettait en cause sa vision des humains, son esprit intégré enfin une notion de pluralité.
-Toutes ces races, toutes ces classes constitue un monde ? Bon ou mal, Alliance ou Horde ... Se mit à réfléchir le jeune invocateur d'arcane.
Il continuait cependant ces batailles rugissantes au coté des forces de l'Alliance du Khaz Modan essentiellement.

Son précepteur, l'emporta ensuite vers Tanaris, puis le le cratère pour comprendre les forces de feu et enfin l'emmena vers Silithus,
la zone des insectes, infectes et abjectes!

MaeihDrei murissait, vivait enfin en osmose avec son mentor, il comprenait le monde d'Azeroth, son arrogance s'estompait
et profit d'un bon négociateur ....

(suite Part III)

Part III: Qu'en faire ?

Horace voyant ce disciple, rejoindre les forces du bastion de l'honneur de la péninsule de flamme su d'instinct que son enseignement atteignait ses limites.
Le monde que souhaitait ce mage expérimenté, s'ouvrait à lui dans l'annihilation des Orcs, mort-vivants ou autres Taureens.
Il décida de confier l'éducation du Naaru sociale à l'épique paladin Kryv et l'éducation Magique à Elsharin et son maitre Maginor Dumas.
Ce trio fournirai un repère de races et l'initiation à la lumière avec Kryv, et un fort potentiel de progression dans les arcanes avec Elsharin.
Horace présenta son élève à Kryv, qui le détesta au premier regard, Maeihdrei montrait un caractère typique du Draeneï se délectant à toiser les autres.
Horace narra rapidement à Kryv les faits de l'élève Mage.
Kryv sans convictions, accepta et délégua l'éducation du Mage sombre de l'arcane à Tracy Fièrepuits par ces mots:
- Ces convictions sont la chasse, aux pleutres monstres de la Horde, ainsi soit-il! Si la lumière te prend, tu me reviendras changer et humble.
"très humble" murmura t'il en redondance.

Les mages d'Hurlevent voyait en lui un futur grand maitre des arcanes, un vrai caractère de mage, laissant les Masses d'armes ou les Haches aux Huleurs des pavés, préférant se concentraient sur leur méditation,
préparant leurs incantations de dégats acerbes, loin du fantassin agonisant de leurs oeuvres.
Maeihdrei se senti plus à son aise dans la tour d'Hurlevent, il découvrait aussi cette ville, ancienne comme sortie des livres d'histoire ancestrales d'Azeroth qu'il avait lu dans sa jeunesse.
Loin des décors cunéiformes de l'exodar, la ville canalisée par l'eau,
sonnait agréablement à son oreille fine au cours d'un séance de détente canne à pêche à la main.
Il adorait ces moment de pause à Hurlevent, entendre les criées de l'hôtel des ventes de Hurlevent, tranché avec le calme affiché du même monument de sa ville natale.
Mais l'essentiel de sa vie se passait dans la fournaise de la péninsule de flammes, au travers de ces combats pour les positions de l'Alliance,
de la colline brisée au surplomb en passant par le stade, œuvrant pour les factions lumineuses et avant-gardiste coordonnées par la lumière du paladin Danath Trollemort.
Ces faits d'armes intéressait le commandant, comme il aimait suivre toutes les recrues qu'Azeroth pouvait lui fournir.
Kryv, de son côté n'était toujours pas convaincu, de la rémission du caractère de feu du Mage (Arcane pourtant), préfère l'envoyé a Shattrah auprès du grand Anacrotète Almonen, afin de recueillir son avis sur le mage et ces capacités d'ouverture vers la lumière.
Almonen voit en lui un mage courageux, luttant avec argne et fièreté dans les batailles à couteaux tirés.
Il choisi de le confié pour son éducation de la différence à l'héroïque Guerrière Naine Haelga Poing-d'ardoise.

Cette dernière, toisa le draeneï en la voyant:
- Tu est trop grand pour les batailles, comment veux-tu qu'on te planque pour que tu évites les coups sur ton tissu qui te sert d'armure.
MaeihDrei, calme et posé répliqua,
-le tissu peut être ! Mais pour avoir la liberté de mes membres afin d'apposer des trous énormes dans vos armures en plaques.
-Madame sans vouloir vous offusquer, les grandes forces, armures et techniques de votre héroïque classe, doit héroïquement murer l'infamie,
pour que les miens puissent en toute humilité, leur assener les coups dont ils ne se relèveront pas. Réplique le Mage
- Soit, montre nous ta puissance. Rétorque la guerrière énervée.

Furieusement, il s'engage dans la vallée d'Alterac suivis d'une quarantaine de compagnons rêvant de gloire et d'honneur.
La bataille fut rude et longue, mais l'Alliance en sortait avec les honneurs du gain.
Haelga pris le mage par la cuisse, ne pouvant le prendre par l'épaule et lui dit:
- J'accepte la mission du grand Anacrotète Almonen, je pense qu'il y a un fond intéressant en toi. Mais il y a beaucoup de travail.
-Mais avant tout il faut que tu fasse un choix, mon cher Mage, Aldor ou clairvoyant, va voir A'dal, il t'expliquera l'histoire de cette terre. Poursuivit Haelga.

MaeihDrei, ne savait juger les elfes de sang ces bâtards, de l'Alliance enivrer aux arcanes. Le choix fut rapide, ces entrailles de Naarus ne pouvait pardonner, il choisit donc de représenter l'éminence de l'Aldor.

Ce choix est fait, dit Haelga. Maintenant au turbin, grande perche, finit-elle, oubliant tous les protocoles.

Elle lui offrit un parcours, au travers du temple de telHamat, puis le marécage ou il s'éprit pour la cause des Sporregars.
Ensuite, Découvrit NesingWary en Nagrand puis Se lança vers les Manaforges de Raz Néant.

(suite Part IV)

Part IV : la rigueur du froid

L'arrivée en Norfendre signé la fraicheur du monde du roi Liche, ce grand ennemi ou seul les légendes, le mette en scène au cours de batailles héroïques et souvent sournoises.
Le seul le froid du bastion de l'honneur transit MaeihDrei à la sortie du bâteau en provenance d'Hurlevent, son armure de tissu faisait un barrage bien maigre.
Les mages de Hurlevent lui avait expressément conseillé de se rendre au contact du roi des ombres, lui expliquant que sa vie de lumière ne pouvait qu'être requis dans cette grande bataille.
L'arcaniste MaeihDrei, retourna voir Haelga pour prendre conseil, elle lui intima l'ordre d'y aller, une larme de crocodile à l'œil.
MaeihDrei isolé sans recommandation devait se repérer et se proposer dans ce nouveau monde!
L'ère de solitude commence se dit-il, partagé entre joie et anxiété.
Il se sentait un peu comme un mercenaire, embaucher sur ces faits mais complètement inexpérimenté dans le domaine dans lequel on souhaite l'utiliser.

Dans cette zone fraîche, il y avait les emplois nécessaire pour réchauffer tout conquérants en mal de nouveauté, d'aventure, de gloire ou de reconnaissance.
Les premiers emplois, ne se firent pas attendre: nettoyage du bastion, aide de la SDPA, des dragons du nord, des Unupes ...
Le bastion n'eu plus de vrai besoin du mage, même un certain nombre de taches pouvait encore l'occupé, il ensuite parcouru La désolation du Dragon.
Il pris a coeur ces missions pour Garde d'hiver et aidant de son mieux Bolvar Fordragon. Fourni à ALexstrasza et ses dragons son meilleur du meilleur.
Les Grissonnes firent rejaillirent, une haine qui s'estomper malgré lui.
L'ennemi, l'ennemi avec un grand E, se trouver là affronter dans la baie de Kapitalrisk et au chantier d'abbattage du ciel bleu.
On lui avait pourtant inculqué depuis son arrivée dans ces terres gelées que le vrai ennemies n'était pas ces pouilleux de la horde mais le roi Liche.
Et que son calme vis à vis des factions rivales, devait se tarir au profit du combat contre le plus profane et le plus puissant des ennemis d'Azeroth.
Mais Le mage n'appréciait guère cette trève, et il s'appercevait là, dans le grisonnes que la Horde, ne respectait pas le deal,
et il était nécessaire de les combattre une fois encore. Aujourd'hui plus que jamais!
Il s'entraina, s'entraina encore et encore, de Zul drak aux pic foudroyés, passant par les rivages anciens et la couronne de glace, terrible, glaciale....
Il voyait Dalaran, comme une grande foire d'hypocrisie ou L'ennemie le provoquait du regard.
Il accpetait le Kirin thor comme instance supérieur, mais ne comprenait pas ces décisions de co-Habitation.
Un jour lorsque certains informateurs, lui livrèrent que la horde non seulement, voulait les grissonnes mais aussi la forteresse du joug-d'hiver.
Sa décision fut prise dans la rapidité d'un éclair de givre:
- A l'attaque! se dit-il, brisons ces malotrus, laissons les s'appitoyer sur leurs illusions de prise de la forteresse.
Et la bataille fut rude, compliquée, avec beaucoup de stratégies aussi improvisées que dominées, ce qui étonna l'arcaniste.
Le retour à Dalaran vit le mage marqué par la fatigue, l'angoisse mais l'adrénaline de la victoire, le tenait fier sur ces jambes qui le portèrent, à la taverne la plus proche.
Un jus de houblon amélioré par un grand brasseur, l'enivra quelques peu. Lorsqu'un groupe de joyeux elfe arrivèrent, contant leurs exploit au Joug-d'hiver.
MaeihDrei repris une bière, et commanda un copieux repas digne d'un gueux investissant ces quelques pièces d'or glannés dans les égouts et faisant une provision de pitence pour les prochain jour de jeûne. Puis tout en profitant des mets de l'auberge, il écouta les récits héroïques des elfes de la nuit, sagement assis à la table voisine.

Le naaru arboré de grands sourires moqueurs, vis à vis de ces hôtes d'infortunes. Ils déblatéraient sur la facilité du combat au sein de forteresse, que les chiens de la Horde n'avaient aucun sens de la stratégie, seuls leurs assauts anarchiques faisaient trembler un peu les murailles solides du fort. Leurs réflexions tournaient à la masquarade. Le mage scruta leur équipement, à peine rare et sans héroïsme. Certes le sien ne l'était pas non plus! Mais au moins il gardait la distance critique lui permettant de croire que la forteresse pouvait tomber, au main de ces bêtes! Il interpella la plus fervant conteur:
-Mon cher elfe, il semble que vos contes héroïques soit fort intéressant mais auriez l'amabilité de situer de manière temporelle, la source de ce récit!
-Un mage, m'interpelle, et Draenei de surcroit pour qui se prend-il! Puisque vous semblez être investi d'une mission de connaissance, je vais vous répondre. Nous y étions à l'instant! Toisa l'Elfe.
MaiehDrei, éclata de rire, raillant aux éclats, le coupa le souffle. Les Elfes déstabilisés et stupéfaits restaient dans l'expectative. Puis le bon conteur repris:
- Veuillez garder, une bonne tenue ! Nous représentons l'Alliance, Diantre! Que nous vaut cette insulte, et j'attends votre prompte explication.
- Vous venez du Joug-d'hiver, avec vos armures rutilantes, et vous toisez nos ennemis de simple fantassin sans cervelle! Je serais ainsi obligé de vous contredire. J'en sors aussi de cette bataille âpre et sanglante, pour les deux camps. Expliqua l'invocateur
Puis relança d'une voix plus intelligible, comme si la petite dose d'alcool l'avait remis en forme, captant ainsi l'attention d'une grande majorité des clients de la taverne, dont bon nombre arrivé, fatigué et blessé du rude combat.
- Messires de Darnassus, pouvez vous nous expliquer à moi simple Draeneï et aux autres simples d'esprits qui arrivent de cet affrontement, comment se fait-il que nos armures sont souillées et ébréchées? Mais aussi comment nos visions de combats rugueux ne sont que des rêves ? Et pour finir, pourquoi ceratins des murs de la forteresse aussi solides et attaquées par quelques moustiques, se sont retrouvés à l'état de poussière? ...
Les elfes ébêtés restaient bouche bée, pendant que l'assemblée s'était focalisée sur cet animation.
- Suis-je bête, repris le mage insistant, Nous avons été marqué par l'illusion de nos fantasme de guerre.
L'elfe repris violemment:
- Il suffit pauvre mage! Votre insolence mérite une correction. Je vous provoque a l'instant en duel, pour laver mon honneur et enterré le votre.
La populace s'anima voilent contre les elfes.
- Si cela est votre seul réponse pour étayer à vos mensonges ....
Braedin l'arcaniste, interrompit le mage
- C'est moi qui relève le défi, au nom des tous les combattants du joug-d'hiver? Il est trop facile de provoquer un vaillant combattant, erreinté par le front.
l'Elfe pris dans un piège compliqué, resta quelques secondes avant de balbutier quelques syllabes incompréhensible, mais Braedin le coupa
- Si toutefois, comme vous le narriez, vous vous êtes terrés dans une grotte en attendant le repli des forces du mal. Ou alors, vous contez les exploits de vrais héros ce qui n'est vraisemblablement l'étoffe dans laquelle vous avez été conçu!
Les Elfes fendirent la foule d'un pas décider, laissant leurs exploits volés dans l'oreille de populace qui rapidement repris ces ripailles.
Braedin salua MaeihDrei pour son courage, et lui confia que sous peu de temps il pourrait arboré les plus belles armoiries de Norfendre voir même d'Azeroth. MaeihDrei, le remercia avec un grand respect en se positionnant a genoux. Le mage de bataille, le releva et lança à la masse combattante:
- Une tournée à l'ensemble des Héros du Joug-d'hiver, ils l'ont tous mérités.
La fête improvisée s'entendit jusqu'au petit matin.

(suite Part V)

Part V (Les premiers amis de Norfendre)
Maeihdrei, fier de son arrivée dans le dernier cercle et de ces compétences maintenant reconnues des divers Ordres, Factions, Ligues qui s'allient de Kalimdor à Norfendre
contre la horde et le fléau, posa son sac au pied du large ébène servi de Caliel Brillesaule:
- Aubergiste, mon corps repu souhaite une bonne brune sortie de tes meilleurs fûts!
L'aubergiste de Dalaran s'exécuta, servant un bock d'un liquide fort brun et surplombé d'une mousse blanche et fine puis il lança:
- Et une brune mousseuse pour le Mage!
- Une chambre est elle à disposition au sein de ton office, réclama le Naaru
- Évidemment, pour vous cher Mage nous avons toujours des disponibilités, répondit la tavernier
- Mangerez-vous, quelques mets avant votre repos? interrogea Caliel
- Les préparations de Katherine Lee sont toujours pour moi d'une grande réjouissance, plus particulièrement lorsque son art se porte sur le carribou et l'hydromel. saliva l'arcaniste.
- Caribou arrosé d'hydromel, pour le sieur MaeihDrei !, cria l'aubergiste à sa cuisine.

Pendant la préparation du délicieux met, l'arcaniste listait son guide de missions. Il aperçu la masse de faits accomplis et de services rendus, ce qui aiguisait son orgueil. Mais il plongea dans sa vie de combattant farouche ... Il ressentit un manque, sa liste de connaissance impressionnante, acquise au cours des longs périples d'Azeroth, amenait la question de son asocialité. Etait-il associal, il prenait des contacts réguliers mais espacé avec certains compagnons de galère. Mais il n'était qu'un mercenaire au service du Kirin Thor ou de tout ordre ayant le besoin de solide fantassin, en quête d'honneur et d'exploit. Il y avait bien, sa guilde d'apprentissage mais beaucoup de membres s'était laissé convaincre par une vie de retraite ou d'oisiveté!
La solitude des moments de détresse, lui pesait se disait-il arrivé dans la chambre fournie par l'aubergiste. Elle était richement ornée, de meuble joliment marqueté et trôné en son centre un immense lit à baldaquins, arborant un matelas et des édredons fort confortables. Dans cette position de pacha, son esprit plongea subitement dans les bras de Morphée, nymphe de la nuit et des rêves.
Au réveil, le lendemain matin le mage se leva reposé et conquérant, sa vie , son expérience devait s'ouvrir au autres, et bien plus qu'un simple coup de main pour mettre à genou le maitre d'une cité du fléau ou soumettre un peuple parti dans les voies ténébreuses du mal.
Il flâna dans la ville claire-obscur du Kirin Thor, rendant quelques menus services de cuisine à Katherine Lee, découvrant par cette occasion les bas fond de Dalaran. Il profitant pour assister à un match d'arène. Ce spectacle ne le séduit pas outre mesure pensant que la valeur d'un homme avec un grand H, s'évaluait sur un champ de bataille ou dans les architectures froide et complexe du fléau, mais pas forcément sur une esplanade ou les vaillants s'entraînent uniquement dans l'esprit du combat pour le combat. MaeihDrei réfléchissait devant le spectacle sanguinolant, empreint d'odeurs fortes et de cris incompréhensibles d'une populace conquise par les gladiateurs. Ces réflexions lui dictaient que ces spectacles auraient un effet bénéfique sur les batailles, si les arènes devaient leurs entrainement, à promouvoir les champ de batailles pour l'entraînement dans les arènes. Mais sa réflexion s'arrêta là, gênée par la fin de match sans surprise, voyant les aguerris nettoyaient les néophytes, sans aucunes âmes au combat, sans faire rugir les clameurs de la plebe. L'arcaniste se leva et remonta sous la lumière solaire au zenith.
A la sortie des égouts, une affiche l'interpella:
"Le groupe Les liens du sang, recrute tous combattants pour asséner de grands déficits au roi Liche. Joindre Falconiste".

MaeihDrei vit dans cette annonce une nouvelle expérience, qui comblerait peut-être son déficit social, rien à perdre que de l'expérience à gagné en vue. Il se mit en quête de trouver cet homme, comme semblait l'indiquer son nom. Il passa de d'auberges en magasins, interrogea sur ce personnage ça et là. La recherche pris un peu de temps, mais il trouva cette humaine, démoniste, fière et coquète aux abords, de la banque d'Hurlevent.
MaeihDrei la salua respectueusement, puis se mit à genou en signe d'allégeance. Falconiste commença:
-Que me valent ces honneurs, cher Mage! Mon cœur n'est pas à prendre, même si vos atouts ne me rendent pas indifférente.
-Celà, n'est pas mon objectif, ma chère. Je me permet cette intrusion dans vos occupations pour vous offrir mes compétences et ma loyauté pour l'Ordre que vous dirigez. Dans la mesure, ou mes compétences vous siéront.
-Soit, je dois avoir une charte disponible, pour vous. Mais, je tiens à vous cerner un peu plus avant de vous inscrire sur notre registre.
-Il ne semble qu'il est coutume de procéder ainsi

La démoniste et l'arcaniste se dirigèrent vers le salon des rafraichissements le plus proche et ils discutèrent longuement, pour finir par l'apposition du sceau du Naaru sur la charte de la guilde.

Suite (Part VI)

Part VI (Les lions du néant)

Nouvellement investi au sein de la guilde "Les liens du sang", MaeihDrei, participait activement à la vie communautaire. Riche de son expérience et son titre d'explorateur d'Azeroth, il offrait des conseils avisés sur meilleures zones combats pour le cercle d'un membre. Il donné aussi des recommandations pour l'introduction auprès des divers généraux ou maitre de régions, afin que les membres inexpérimenté, ou moins expérimenté que lui puisse offrir le meilleur rendement de conquête à l'Alliance.
Il n'hésitait pas à accourir au besoin de chacun, même leur échelle d'expérience était très basse. Le mage, MaeihDrei, en profita aussi pour commencer à construire une mini école sur les champs de bataille. Elément très peu privilègiait par l'association. Certain membres du cercle suprême, l'accompagnaient souvent dans la Vallée d'Alterac ou au cœur de l'oeil du cyclone, à la fin des batailles, l'arcaniste conseillé les équipements et les techniques en fonction des classes l'ayant accompagné au pas.

Quand un jour, s'apprêtant à fournir à un groupe de novice, une balade au sein de l'antre du fléau des marche de l'ouest, que l'on nomme MorteMines. Un certain Guerrier, Humain de son état interpelle le mage.

- Eh toi, le mage, là! Cria le Guerrier Prikto.

MaeihDrei expliquant le fonctionnement du jeu en groupe à ces néophytes du combat dans les antres du fléau, ne pris aucunement cette exclamation pour lui.

Prikto repris :
- Toi, MaeihDrei le Mage, tu réponds quand on te parle! Ou tu choisi d'ignorer ton problème!
MaeihDrei surpris, de l'intervention de ce malotru, se retourne et d'un calme olympien, salue le guerrier et lui lance:
- Bonjour, cher Guerrier. Je suis désolé de ne pas comprendre vos propos car je n'ai aucun problème avec vous, sauf si vous consentez à me faire part de vos tracas. Cependant, cette intervention aussi brutale, n'est pas digne d'un Humain correctement éduqué.
- Rien à foutre de l'éducation! Et moi je veux voir ton chef de guilde, car il nous vole notre identité! Crache toujours aussi violemment le barbare.
- Je sais par expérience que plus on hurle sur les gens, moins ils seront coopératifs. Donc avant que votre vocabulaire ne deviennent injurieux, et donc que je tourne les talons pour vaquer à mes occupations. Je vous conseille fortement, de calmer vos ardeurs et de m'expliquer le problème. Répond sereinement et calmement.
Le guerrier semble se reprendre quelque peu:
- Votre chef de guilde nous a voler des combattants très expérimenté lors de ces recrutements, par la confusion entre nos noms de guilde.
MaeihDrei Fouille sa mémoire, puis vérifie en allant vers l'officier des Ordres:
Premièrement, effectivement les noms des deux guildes avaient une proximité étonnante, "lien du sang" pour le Guerrier et "les liens du sang" pour le mage. Il vérifie aussi la quantité de membres ayant atteint le cercle suprême. Puis relance Prikto:
- Mon cher, premièrement votre accusation de vol est non fondé puisque aujourd'hui nous comptons très exactement six membres expérimentés au suprême, parmi les six je compte notre chère chef de guilde, deux cofondateurs, et trois autres personnes que je connais parfaitement et qui n'ont jamais souhaité postuler dans votre confrérie.
- Mais ....., commença le guerrier
-Ensuite, coupa le naaru, j'admets que la similitude des noms de notre confrérie respective est troublante, mais il ne semble que jusqu'à aujourd'hui. Contrairement à vos allégations,cela ne pose pas de problème. Cependant, je veux bien me charger de transmettre vos desideratas à notre chef de guilde, mais cela est conditionné au fait que votre maître de confrérie entre en contact avec elle, directement.
- Mais notre chef, à déjà pris contacte avec lui ... et aucune réponse. Alors je veux que vous changiez immédiatement ce nom qui nous emm******. Reprit-il enragé.
- Monsieur! Vos insultes n'auront aucun effet sur moi, si ce n'est la rupture des négociations. De plus, je vous rappelle que vous avez un grade relativement faible dans votre groupe, pour vous auto-promulguez négociateur de premier rang. Je pense que beaucoup d'enjeux et de démarches administratives vous dépassent. lança MaeihDrei fermement, énervé par la maladresse et la bétise de son débatteur.
- Pour conclure, repris l'arcaniste sur un ton dominateur, je m'engage à contacter mon chef de guilde pour lui relater le problème. Et je vous engage, à dialoguer avec votre hiérarchie afin de transmettre cette information. Afin qu'ils mettent en place une ouverture des négociations entre nos guildes et que humainement et intelligemment une solution puisse être trouvée. Cependant, je ne peux vous assurer que notre chef entrera dans ce jeu. ces décisions lui appartiennent.
- Mais comment s'appelle votre chef de guilde? lança le guerrier
- Vous n'auriez abordé en grand diplomate, je vous l'aurez dit. Mais comme vous lui avait déjà écrit, je pense que votre Ordre la connait. Toisa la Mage avec une grande arrogance.

Dès cet incident, que MaeihDrei pouvait qualifier de bêtise humaine et d'enfantillage, l'avait amusé quelque peu. Il essaya de contacté directement Falconiste, sans succès. Lorsqu'il demanda à un membre fondateur, il appris qu'elle était en retraite méditative et qu'elle reviendrait d'ici quelques jours. Le mage décida sans plus attendre de lui transmettre l'incident par messager.

Le départ pour l'antre du fléau des marches de l'ouest pouvait maintenant s'effectuer sereinement ou quasiment. En dehors de quelques énervements de certains néophytes, dans ce type de combat, qui trop pressés de dépouiller les divers défias, ou gobelins de la grotte, se trouve pris à parti dans une bataille difficile pour eux et le plus expérimenté gère, dans les possibilités de sa vision et de son engorgement. Comme le rappeler souvent MaeihDrei a se groupe:"Attendaient que mon nettoyage soit opéré, je vous ferez signe." Mais le fougue de la jeunesse l'emporter souvent sur la sagesse.

Quelques jours calme s'écoulèrent dans les joies des actions à mener, au sein de la guilde, MaeihDrei se positionner comme un artisan productif et un formateur intéressé. Lorsque que Falconiste l'appela, pour un travail administratif d'importance. Il fallait informer l'ensemble des membres, que nous quittions cet Ordre pour en rejoindre un nouveau, "les lions du néant" était né.

Pendant ces quelques jours, Notre leader (chef) avec ces cadres (Généraux) étaient entrés en négociations avec l'association dont l'homonymie était troublante. A la fin, de longue heures de discussions auxquelles MaeihDrei simple Caporal, ne participa pas, un accord avait était trouvé entre les deux parties. Maintenant nous devions nous réidentifer à cette nouvelle structure dont seul le nom avait changé.

Mais la force du groupe était motivée et chaleureuse, et cet nouvelle appellation s'intégra très vite. Cet incident provoqua, une nouvelle salve de recrutement, mais de personnes expérimentées, voir très expérimentées. Les casernes du fléau commençait à voir fréquemment apparaitre ce nouveau tabard. MaeihDrei se trouvait de plus en plus inoccuper, les quelques essais dans la nécropole de Naxxramas semblait montrer un problème d'efficacité de l'arcaniste, pour les camarades fortement équipés et grand connaisseur du lieu.

Les invitations se firent rare, voir inexistante ... Alors MaeihDrei se relança dans les batailles, n'hésitant jamais à saluer ces camarades... Petit à petit son équipement obtint des sommets, à force de combat sur tous les champs, joug-d'hiver compris. Son entraînement faisait de lui un équipier affuté et apprécié, par les adeptes du corps à corps. Mais au fur et à mesure que sa cote de bataille monté son intérêt pour ces camarades du néant faiblissait, il se sentait parfois un paria. Le seul du groupe à continuer de défier l'infamie de la Horde, face aux autres soit en retraite soit au défi de nettoyer la nécropole avec uniquement des combattants triés sur le volet, avec un manque évidant d'entraide.

Puis un jour, l'Ordre se vida, MaeihDrei rentrait d'une retraite autant passive que délectable est constata le départ de plus 15 membres. Quelle stupeur! MaeihDrei frais, reposé, s'en alla quérir auprès sa chef vénérée. Elle fit le constat de ne pas pouvoir retenir les crocs ravageurs, de ces membres ne souhaitant que la crème des donjons de Norfendre pour envahir le temple d'Ulduar, sans se soucier en aucune manière de former ou de transmettre aux autres, le savoir...

Après quelques jours, ou l'âme n'y était plus, MaeihDrei repris quelques formations dans la monde des batailles. Puis la maîtresse de la guilde n'arrivant plus à recruter, ni à regrouper, les quelques membres restants. Acculée, démotivée, elle choisit de fermer les portes de l'Ordre pour y garder uniquement sa descendance.

Le mage Arcanne se trouvait de nouveau libre, seul et armé d'une nouvelle expérience, intéressante, malgré l'échec final.

suite (Part VII)

Part VII(Lux imperium)
Maeihdrei, passa beaucoup de temps au service de la croisade d'argent, du concordat argenté et des factions de l'Alliance en s'entrainant pour les futur assaut contre la Horde et le roi roi Liche, oeuvrant chaque jour ou nettoyage de la citadelle, au dépeçage des membres du fléau terrés dans les fossés de la couronne de glace, allant libérer l'âme de Frissegueule, courant par monts et par vaux à la recherche des plus belles lames d'Azeroth, fournissant de grande suée au bucheronnage et au burinage pour la nouvelle arène du Tournoi de l'argent.

Toujours présent, jours après jours, toujours disponible missions après missions, toujours là titre après titre ... Il se présente aujourd'hui comme ambassadeur de l'Alliance, bientôt comme croisé et un jour certainement comme champion ... Mais cette noyade dans l'occupation, masque un vrai besoin de relationnel, mais le chat échaudé craint l'eau froide nous enseigne le proverbe. Alors il hésite, regarde les annonces de recrutement, engage des dialogues avec de chef de guilde, des recruteurs, s'informe par la bande des esprits ou des objectifs de tel ou tel groupe. Son Père Artlouf, lui conseilla d'aller s'ouvrir auprès des "Divine Hope" ou de frapper à la porte des reconnus "Lux imperium". Il savait pas d'où venait les informations de son père. Le peu de connaissance de son père venait du fait que ce dernier offrait des présences très éphémères et souvent très espacée, pris par les courses d'Azeroth et constitution des effectifs des combats qu'Hurlevent mené sur tout le territoire. Cependant, il était sur de certaines choses:
Premièrement, que son père gardait en permanence un œil sur lui, qu'il n'a jamais hésité à se rendre présent lorsqu'il était en difficulté, et que ces connaissances dans le monde administratif et hiérarchique de l'Alliance était sans nul doute très pointues.

L'ordre du "Divine Hope" pouvait offrir au Naaru, des certitudes de formation, aussi bien aux arènes qu'aux antres du fléau! L'ambiance semblait fort coutumière des tavernes lors des détentes post-mission. Il pratiqua quelques évènements de guilde avec ce groupe, le cœur ne penchait pas forcément vers eux. Mais pourquoi pas!

La seconde orientation proposée par son père, lui ouvrit des portes différentes, plus en adéquation avec ses idéaux ou tout au moins ces valeurs. La critique va bon train sur la confrérie, mais à mes yeux elle reste positive, et conforme au valeur de la chevalerie.

Après quelques jours, l'idée poursuivit son chemin. Et MaeihDrei remis se demande de recrutement, à l'intention du grand maître et de ces officiers.

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Fin partielle du récit, Recte faciendo neminem timeas. {Fais ce que tu dois, advienne que pourra!}.
Toutes similitudes avec des faits vécus ou vus sur le monde persistant "World Of Warcraft" , serveur "les Sentinelles" ne sont pas forcément fortuite.
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Et bien voila une histoire pour le moins détaillée de ton existence en ce monde, je suis honoré de compté un membre tel que toi parmi nous, avec autant de verve que d'ardeur au combat. Puisse le chemin de la lumière te faire rester en notre sein et prospérer jusqu'à l'accomplissement de ton but, voire peut-être, de l'extermination de toutes formes du mal dans nos contrées... A bientôt, puissant mage.

Thyreos, le prince des glaces

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Je m'incline devant ce récit fort détaillé et t'en félicite !
Bravo , c est une très belle introduction et une vision de notre monde virtuelle que je partage en grande partie avec toi.
Comme l'a dit notre Mage Poète Thyreos je te souhaite de t'accomplir parmi nous et de demeurer dans la Lumière Ad Vitam Eternam , à nos côtés Frère !
Puisse ton âme trouver le réconfort auprès de tous nos chers menbres de L'Ordre.

Encore une fois je te souhaite la bienvenue !